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Une Mexicaine à Paris

4 décembre 2007

Cactus est "sexy"

Oranginacactus

Oranginacactus

(foto on a efface la pub, mais vous savez de quoi il s'agit)

On a déjà parle dans ce blog (ici) à propos du « cactus » nopal, produit mexicain qui serve a nourrir aussi les humains que les animaux les vaches par exemple. Et ses fruits connus en France comme figuier de barbarie, délicieux et fraîches, on fait des gâteaux avec. Les pépins du fruit servent à la fabrication d’un huile précieux, très apprécie en beauté pour ses propretés antirides, cicatrisants et autres, des fleurs éphémères des cactus on fait un macérât huileux, aussi bon pour la beauté.

Image
foto: http://www.mega.net.mx/index.php/fotos/laguna-de-alchichica/flor-de-nopal.html

Moi-même je me concocte des crèmes, depuis que j’ai appris a les faire je ne m’en achète plus et même j’ai déjà offert a ma famille et maintenant sont fans, et en parlant je n’ai plus du lait corporelle, alors je prépare mon matériel pour commencer.

Bonne journée

Au revoir

 

Cactus

 

 

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25 novembre 2007

Le désert

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Dimanche et j’ai pas très envie de sortir, parce que j’ai derrière moi un travail fou, il faut faire le ménage, j’habite dans un 5éme étage avec des fenêtres et balcons donnant a l’intérieur face au jardin en bas, pas des voitures, que des voisin(e)s sympas, mais je ne sais pas pourquoi il y a plus de poussière que dans mon pays !


lhasa - el desierto

Cliquer ici pour regarder le video 

Et d’un coup ça me fait des souvenirs, par exemple le paysage si différent du français, les contrastes entre la sécheresse de la terre, la pauvre végétation qui fait des verts éteints et le grandeur de l’horizon et le ciel très intense surtout quand il y à le couche du soleil et le ciel devient comme une peinture avec des tons rouges, violettes, bleus, verts, jeunes, oranges, c’est une symphonie chromatique et le tout reposant sur la terre rouge. Et quand il fais du vent siffle comme un animal énerve, ou un coyote amoureux de la lune. Ah ! et les branches sèches qui forment des buisson  parfois très grands qui traversent les rues, les autoroutes et les espaces ouverts comme des pilotes fous, on dirait qu’on une vie, on pourrai les parler mais ils vont si vite qu’on s’arrentent pas.

http://midzu.files.wordpress.com/2007/03/desierto.jpg 

Quand on prend la voiture et on se met en route pour le nord, on peu traverser des centaines de kilomètres en solitude, à peine on croise quelques voitures qui se perdent comme des étoiles filants et on se sent transportes dans un paysage onirique….

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Foto d'ici

La bas il y a de l’espace, et on peu habiter dans une grande maison, avec un patio, mais la nuit tombe et je dois continuer de mettre ordre a mon petit appartement.

23 novembre 2007

Il faut bien fouiller les poubelles

http://cache.eb.com/eb/image?id=92950&rendTypeId=4

Et pour finir en beauté, on continue avec l’art, mais cette fois si

On parle d’un autre peintre mal connu en France, mais très bon, il s’agit de   Rufino Tamayo:


Une poubelle à plus d’un million de dollars

Les poubelles de New-York sont parfois remplies de trésors qui peuvent rapporter gros. Une toile du peintre mexicain Rufino Tamayo a été... (Suite)


23 novembre 2007

La Fridamania

Sac à main Frida Kahlo.(Photo : Patrice Gouy/ RFI)

Sac à main Frida Kahlo.
(Photo : Patrice Gouy/ RFI)


 Si vous étés intéresses a l’art, et aux artistes mexicains j’ai trouve un blog dans le quel il y a un très bon article a propos de Frida, mais le phénomène cultural commercial, un peu exagère et malheureusement est ainsi.

http://estaticos01.cache.el-mundo.net/elmundo/fotos_gente/2005/12/15/1134671708_extras_fotos_gente_0.jpg

L’article est très bien fait et il vaut bien la peine de le lire :


AgoraVox le média citoyen : La Fridamania, marque déposée mexicaine®

CONVERSEFRIDA - foto e immagini

Guarda tutte le foto

23 novembre 2007

Diego et Frida: Expo le 7 décembre

Bonjour, finalement la grève était difficile, je me suis trompée en mes « prévisions », heureusement que la normalité de transport en commun revient, comme ça on pourra sortir mieux et aller aux expos, et si sa vous dit, j’ai quelque chose a vous communiquer, ce n’est pas de la pub, mais je veux partager avec vous des bons plans à Paris, parfois ce n’est pas évident.

Il aura des événements à propos de Frida Kahlo et Diego Rivera a l’institut cultural de Mexico, si vous étés partantes, je vous laisse les coordonnes :


7 décembre 2007 - 22 février 2008

Vernissage jeudi 6 décembre, de 18h à 20h

En présence de S. Exc. Carlos de Icaza, Ambassadeur du Mexique

S É ANC E S A V E C

 

L’Instituto de México à Paris présente l’exposition

 

S É ANC E S A V E C

Diego et Frida

PHOTOGRAPHIES DE JUAN GUZMÁN

Collection Fondation Televisa

 

Ouvert du mardi au vendredi de 9h30 à 13h

et de 14h30 à 18h, samedi et lundi de 14h30 à 18h.

Fermé le dimanche et les jours fériés.

Fermeture exceptionnelle

du 24 décembre 2007 au 1er janvier 2008

 

INSTITUTO DE MÉXICO À PARIS

119, rue Vieille du Temple 75003 Paris

Tél.: 01 44 61 84 44 - idemex@wanadoo.fr

www.mexiqueculture.org

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14 novembre 2007

Croquer la mort.....

Bonjour, il fait beau et la grêve n'est pas si sanglante que ça!
Vive la vie et je vous laisse avec un petit film moins de quinze minutes sur la mort, ben oui mais rigolo et sympa, rien de pathétique

Ajouter la vidéo au Pense-bête

Hasta Los Huesos


13 novembre 2007

José Guadalupe Posada

Le Baiser du Soldat par Posada...

      

"Le Baiser du Soldat"

      

 

J’avais oublie, il y a eu un artiste mexicain, Posada lui qu’a fait les très connues « calaveras » et des autres gravures de facture populaire mais très intéressants et jolis graphiquement, pour être le mois des morts on vous partage un très bon link en français sur l’art mexicain :

La vie de José Guadalupe Posada, dessinateur mexicain

13 novembre 2007

Jouets en papier

Bonsoir, les jours s’écoulent et parfois on ne se rende pas compte, quelle chose !

J’espère que vous étés bien, moi un peu mal fichu, c’est pour cela que je ne postait pas, mais me revoilà.

J’espère que vous aviez profitez des activités pour la « fête des morts » au musée Branly, et que vous aviez aime.

Bon, maintenant le climat a change et personnellement je n’ai pas très envie de sortir, moins encore avec des grèves, alors je me cherche des activités à l’intérieur et j’aimerai bien partager avec vous un site que je trouve très sympa ou on peu imprimer des jouets en papier.

Matt Hawkins
Muy buenos esos juguetes de papel, sobre todo porque el autor Matt Hawkins los comparte.
Matt Hawkins

Custom Paper Toys

3 novembre 2007

Fête des morts

RFI

 

   

Le Mexique fête ses morts dans la joie

Au Mexique, la fête des morts est une sorte de carnaval où la mort n’est pas l’adversaire de l’homme mais son partenaire de jeu. Sans crainte ni tristesse, le Mexicain s’en amuse avec une délicieuse ironie, beaucoup d’humour et de sarcasmes. Chaque village a ses traditions et même les cimetières des grandes villes comme ceux de Mexico ou de Guadalajara, retrouvent à cette occasion les traditions rurales. Les fêtes de la Toussaint sont en effet l’occasion pour les habitants de ces grandes villes de retrouver leurs racines.

De notre correspondant au Mexique, Patrice Gouy

A 80 km de Mexico, Tlayacapan a su conserver ses racines indiennes et coloniales sans tomber dans l'exotisme bon marché. Cette charmante bourgade dans l’Etat du Morelos, dégage une atmosphère très particulière, magique, qui tient sans doute au mélange harmonieux de l’architecture coloniale et vernaculaire qui s'organise autour d’un immense couvent -forteresse du XVIe siècle. Au Mexique, les ordres religieux, Jésuites et Dominicains, ont inventé le style baroque. Intelligemment, ils ont souvent laissé libre cours aux fantaisies des artistes indigènes pour marier christianisme et croyances locales : l'Ancien et le Nouveau Monde s'associant alors pour poser chacune des pierres de ces édifices. Certains parlent d'art métis.

Tradition et syncrétisme

A Tlayacapan, la présence indienne s'exprime encore dans les traditions, en particulier au cours des cérémonies de la fête des morts dans la nuit du 1er au 2 novembre. Tlayacapan, qui signifie en langue indigène « le nez de la terre », possédait son rituel funèbre bien avant l'arrivée des Espagnols. Le village a été construit sur une ancienne cité aztèque, les 21 pyramides ont été détruites par les Espagnols et remplacées par 21 chapelles baroques, chacune ayant ses saints catholiques qui ne sont, en réalité, que les substituts des dieux païens. Avec l'évangélisation, les croyances, les dieux, les temples indigènes, estimés alors idolâtres, furent détruits mais le culte des morts, qui ressemblait au fond à celui de la religion catholique, s'est perpétué. Indigènes et religieux ont conservé l'illumination et la décoration des tombes ainsi que les offrandes de nourriture qui constituent une sorte de communion.

On passe la nuit au cimetière

La fête des Morts est l’occasion de resserrer, autour des ancêtres disparus, les liens de la communauté. C’est pourquoi le 1er novembre, tout le village se rend au cimetière pour nettoyer les tombes et préparer les offrandes. On manie le pinceau, sans craindre l’utilisation de toute la palette des couleurs pour que tout soit prêt la nuit pour la grande cérémonie. Chacun vient alors avec ses offrandes, allume les bougies. Les mères installent sur la pierre tombale les plats préférés des défunts : mole au chocolat, pozoles, tamales et enchiladas. On s’invite d’une tombe à l’autre. On y boit beaucoup de tequila et de mezcal, on s’interpelle, on se réconcilie, on s’aime, jusqu’au petit jour. Les tombes croulent sous les brassées de fleurs : crêtes-de-coq rouges et cempasuchils, des fleurs orange qui ressemblent à des zinnias et qui étaient considérées, au temps du Mexique préhispanique, comme la fleur des âmes mortes.

Des têtes de mort à peindre sont vendues pour les enfants.     (Photo : Patrice Gouy)

Des têtes de mort à peindre sont vendues pour les enfants.
(Photo : Patrice Gouy)

La mort qui se mange

Sous les arcades qui bordent la place du village, les boulangeries et les pâtisseries proposent le traditionnel pain des morts, de délicieuses brioches sucrées en forme d'angelots, mais surtout, bien alignés, des crânes ou des squelettes en sucre, des cercueils et des cadavres en chocolat qui font la joie des enfants. La tradition veut que l'on offre, à ceux que l'on aime, une tête de mort avec leur nom gravé sur le front ou... un petit cercueil ! Le prix Nobel de littérature Octavio Paz, dans « Le labyrinthe de la solitude », explique que « l'indifférence du Mexicain devant la mort se nourrit de son indifférence devant la vie. Ses chansons, ses fêtes, la sagesse populaire montrent sans équivoque que la mort ne l'effraie pas parce que la vie semble l'avoir guéri de la peur ».

La mort en musique

Les festivités s'accompagnent d’un festival de bandas de toutes les régions du Mexique. Il s’agit d’ensemble à vent et cuivres, qui jouent les grands airs ou les chansons traditionnelles. Le festival est ouvert par la banda Santamaria de Tlayacapan qui se rend au cimetière. Réunis autour de la tombe de Brigido Santamaria, le fondateur de cet ensemble d’agriculteur-musiciens plus que centenaire, tous ses descendants lui rendent un hommage qui se termine invariablement par la Marche triste de Berlioz.

Dans tout le village, on est sous le charme, dans une sorte de merveilleux solennel : sur les tombes se dressent les couronnes de fleurs, des bougies tapissent le sol, avec, aux quatre coins, des cierges blancs entourés de papier huilé, comme des cornets de fleurs, pour éviter que le vent ne les éteigne. Devant chaque maison est dessiné un chemin de pétales orange qui mène au cimetière afin de guider les âmes des défunts.

27 octobre 2007

Video funy!

El baile de los esqueletos.

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